Petite chasse entre père et fille [PV Edward & Nessie]

Aujourd'hui le temps était habituel à Forks. Peu de soleil, juste assez pour éclairé correctement la ville, une pluie fine, une petite brise apportant doux arômes...
Mais je pensais toujours à maman. Papa avait l'air de s'ennuyer, d'avoir perdu plus que sa moitié, je voulais lui changer les idées.

- Dis, papa. Ca te tente une partie de chasse avec ta fille ? Attention attention ! On fera la course ! Celui qui attrape le plus vite du gibier à gagner ! dis-je avec enthousiasme.

J'étais pleine d'entrain ! Une petite course ne ferai pas de mal à mon vieux père. Haha !

Invité

Aujourd'hui, une journée habituelle à Forks se profilait à l'horizon.

Peut de soleil, une pluie fine, une vent léger idéal pour une partie de chasse enfin tout ce qu'il faut.

Je m'étais levé tôt repenssant sans cesse à Bella, seule à Volterra.

Je ne suportais plus de la savoir loin de moi.

Et depuis quelques temps, je n'avais plus envie de rien, j'avais comme o dirait perdu goût à la vie.

Sans elle, c'était très différent, mais il me restait toujours ma deuxième petite femme, ma Nessie, mon bébé d'amour, qui maintenant, n'était plus si petite que ça.

Bref vers 11 h 00 je descendais au salon pour aller jouer une de mes compositions pour Bella, au piano, bien sûr, quand ma fille m'interpellais, me sortant de mes idées.

"Dis, papa. Ca te tente une partie de chasse avec ta fille ? Attention attention ! On fera la course ! Celui qui attrape le plus vite du gibier à gagner !"

- Avec plaisir mon amour ! Je relève le défi ! Attention attention ! C'est parti !

Après avoir prononcé ces mots, je me lançais par la fenêtre, sautant le plus loin possible.

J'entendais alors les pensées de ma fille !

- Vieux moi vieux ? Tu vas voir de quel bois je me chauffe !

Je ris de bon coeur.

Ma petite fille avait entièrement raison, je devais arrêter de broyer du noir et surtout occuper mon esprit à autre chose qu'à la pensée de ma femme car cela me faisait beaucoup de mal.

Je me dirigeais à toute allure vers la forêt et ne mis pas longtemps à detecter un troupeau de biche tout près.

Je me dirigeais alors vers la clairière, mais Nessie, qui à force de chasser avec masoeur, Alice, avait affutée ses reflexes d'odorat, ne mis pas longtemps à me rejoindre.

Je courais à ces côtés, heureux de la voir aussi rayonnante.

Apparemment, la partie de chasse le tentait bien car il afficha un grand sourire.

- Avec plaisir mon amour ! Je relève le défi ! Attention attention ! C'est parti ! dit-il

Décidément, il avait beaucoup d'entrain le vieux ! Il sauta par la fenêtre.
Oh lala, j'allais pas me laisser battre par un vieux quand même ! Je sautai aussi par la fenêtre. Apparemment il entendis mes pensées car il se retourna.

- Vieux moi vieux ? Tu vas voir de quel bois je me chauffe ! cria-t-il avec un sourire moqueur.

Il se mit à rire et je me joignis à lui. Il courait plus vite que moi. Le vent me fouettait le visage vu l'allure à laquelle nous allions. C'était une sensation que j'adorais. Sentir du frais sur ma peau, apportant de doux parfums. Il courait de plus de plus vite ! Mais il va pas laisser sa fille gagner ?! C'est quoi ce bazard ?! Nous ne mîmes pas longtemps à détecter un troupeau de biches, ce qui me bousta encore plus. Haha, à force de chasser avec Alice, j'avais appris des techniques de courses pour rattraper mon père. Et ! J'avais réussi ! J'avais rejoins mon père, nous courions côte à côte en direction de la clairière. Je sautai, tellement j'étais heureuse, pour la première fois depuis si longtemps. Sans le savoir nous avions ralenti.

- Haha ! Fais gaffe à toi ! Tu vas quand même laisser ta fille gagner hein ? Sinon... dis-je avec mes yeux de cocker.

Je me mis alors à courir à toute vitesse, je me retournai tout en continuant à courir, pour voir où en était Edward, et c'est là que je ne le vis plus. Arg ! Il me faisait ce coup à chaque fois que je le doublais ! J'entendais des bruissements de feuilles, signes qu'il se cachait où qu'il était dans les arbres.

- Papa ? Je sais où tu es... MOUHAHA. dis-je comme le font les sorcières.

Invité

Ma fille me rejoignit et nous nous mîmes à courir le plus vite possible vers la clairière.

Elle sautait sur place tout en courant, tellement elle était heureuse de ce moment.

Nous avions ralenti, mais nous continuons à courir pour autant.

Soudain ma fille me dis.

"Haha ! Fais gaffe à toi ! Tu vas quand même laisser ta fille gagner hein ? Sinon..."

- Si non quoi petite vampirette ? Tu crois pouvoir vaincre un vieux vampire qui chasse depuis bien plus de 100 ans ? Tu te trompes lourdement !

Ma petite Nessie me dépassait en courant beaucoup plus vite que moi !

Comme elle était à plusieurs mètres, je m'arrêtais pour aller me cacher derrière un arbre et arriver avant elle à la clairière !

Mais ma fille n'était pas née de la dernière pluie et elle sut immédiatement ce que signifiait ma disparition de derrière elle.

"Papa ? Je sais où tu es... MOUHAHA."

- Alors essait de me trouver !

Je montais au sommet de l'arbre derrière lequel je m'étais caché, le plus discrètement possible, et attendais qu'elle me rejoigne.

- Alors, essaie de me trouver ! dit mon père.

Qu'est-ce-que j'adorais ces moments avec lui. Cela faisait tellement longtemps à présent. J'entendis des pas sur de l'écorce, et l'odeur de résine près d'un arbre où je me trouvais. Je sautai sur l'arbre le plus proche.

- Et le vieux ! Faudrait peut-être acheter des semelles anti-bruits, avec le temps t'en fait des tonnes ! J'ai une bonne ouïe tu sais. dis-je.

J'entendis le rire de mon père et je changeais d'arbre. Je me retrouvai alors derrière lui.

- Haha, je... t'ai... TROUVE ! dis-je.

Nous sautâmes alors sur le sol et je courus après lui.

- Haha, tu ne m'attraperas pas ! criait-il.

Invité

Après avoir disparu du champ de vision de ma fille, je criais.

- Alors essait de me trouver !

Je montais au sommet de l'arbre derrière lequel je m'étais caché, le plus discrètement possible, et attendais qu'elle me rejoigne.

Ma fille savait très bien ou j'étais, et je savais qu'elle le savait vu que j'entendais tout ce qu'elle pensait.

"Et le vieux ! Faudrait peut-être acheter des semelles anti-bruits, avec le temps t'en fait des tonnes ! J'ai une bonne ouïe tu sais."

Je riais à sa remarque et l'entendis sauter d'un arbre proche du mien.

Elle se retrouvais alors derrière moi et me dit.

"Haha, je... t'ai... TROUVE !"

Nous sautâmes alors de l'arbre ou nous étions perchés, pour attrir sur le sol mousseux et je courus pour m'éloigner d'elle.

Elle courut derrière moi pour essayer de me rattraper, mais je courais plus vite qu'elle.

Bien qu'elle est de l'entrainement.

Comme elle me rattrapait, et qu'elle était presque à côté de moi, je lui dis.

- Tu sais ma chérie, c'est dans cette forêt que j'ai chassé avec ta mère pour la première fois. Elle me manque énormément tu sais... et à toi aussi, je sais.

Ma fille, elle, avait cette chance, donné par sa mère, d'être "hybride", elle pouvait pleurer et sortir une partie de la peine qu'elle ressentait.

Moi je ne pouvais pas.

Je finis par réussir à le rattraper. Il avait un air mélancolique.

- Tu sais ma chérie, c'est dans cette forêt que j'ai chassé avec ta mère pour la première fois. Elle me manque énormément tu sais... et à toi aussi, je sais. dit-il.

Le voir comme ça me faisait du mal. Maman nous manquait énormément. Son odeur, sa maladresse...

- Oui, elle me manque énormément. Son odeur, sa maladresse, son petit caractère... ça me manque. chuchotai-je.

Nous nous étions arrêtés. Après avoir prononcer ces quelques paroles, une larme coula sur ma joue.

- Sa sensibilité me manque aussi... dis-je avec le petit sourire moqueur que je tenais de mon père.

Papa m'enlaça.
La disparition de ma mère était de ma faute. C'était moi qui lui avait proposé de chasser avec moi, non, qui lui avait demandé, et elle avait accepté, pour me faire plaisir, mais ça avait mal tourné. Maintenant elle n'était plus là... tout était de ma faute !

Invité

"Oui, elle me manque énormément. Son odeur, sa maladresse, son petit caractère... ça me manque."

Elle murmura cette phrase pleine de peine.

Nous n'avions pas remarqués, mais nous nous étions arrêtés. Après avoir prononcer ces quelques parole, une larme coula sur la joue de ma petite fille.

Puis elle reprit.

"Sa sensibilité me manque aussi..."

Elle eut un petit sourire moqueur qu'elle tenait de quelqu'un mais de qui, aucune idée... peut être de moi, quand elle le pensait.

J'avancais vers ma fille et je posais mon pouce sur sa joue pour essuyer sa larme.

Je l'enlacais de mes grands bras musclés.

J'entendais alors ce qu'elle pensait, et je me reculais pour la regarder droit dans les yeux.

- Ne repense plus jamais ça mon amour, tu m'as bien compris ! Je t'interdis de penser que ta mère a été enlevée à cause de toi. Si quelqu'un doit s'en vouloir,c'est moi, je ne suis pas arrivé à temps pour la sauver. De plus, les Volturi avaient prévut leur coup depuis longtemps. Ce n'est pas de ta faute, d'accord ? Alors ne redis jamais ça.

Je l'embrassais sur la joue et le serrait contre mon coeur.

Puis je repris.

[b]- Allons manger. D'accord ? Je ne veux plus que tu pleures. Nous allons la retrouver, je t'en fais la promesse. [b]

Nous repartîmes main dans la main, mais sans courir cette fois, vers la clairière ou nous avions repérés un troupeau de biches.

Il entendit sûrement ce que je pensais car il recula, furibond, pour me regarder droit dans les yeux. Ce regard qu'il avait quand il n'appréciait guère quelque chose. Le même regard que quand il avait chercher pendant des jours et des jours maman, mais qu'il ne la retrouvait pas...

- Ne repense plus jamais ça mon amour, tu m'as bien compris ! Je t'interdis de penser que ta mère a été enlevée à cause de toi. Si quelqu'un doit s'en vouloir, c'est moi, je ne suis pas arrivé à temps pour la sauver. De plus, les Volturi avaient prévut leur coup depuis longtemps. Ce n'est pas de ta faute, d'accord ? Alors ne redis jamais ça. dit-il.

Ses paroles me réconfortaient quelque peu. Mais je pensais toujours la même chose. Il m'embrassa sur la joue et me serra fort contre son coeur. L'avoir près de moi me réconforter.

- Allons manger. D'accord ? Je ne veux plus que tu pleures. Nous allons la retrouver, je t'en fais la promesse. dit-il.

Il avait sans doute senti que je commençais à avoir faim. Nous repartîmes vers la clairière où le troupeau de biches était resté. Il me tenait la main et me souriait. Oui, nous allions la retrouver.

- Dis papa... penses-tu qu'elle nous a oublié ? Que l'on lui manque comme elle nous manque ? Qu'ils la font souffrir ? demandai-je.

Ces questions me tourmentaient. J'en avais des tonnes dans la tête, mais je comptais les poser au fur et à mesure. D'abord les plus importantes. Nous arrivâmes près du troupeau de biches puis il me répondit.

Invité

Je l'embrassais sur la joue et le serrait contre mon coeur.

Puis je repris.

- Allons manger. D'accord ? Je ne veux plus que tu pleures. Nous allons la retrouver, je t'en fais la promesse.

Nous repartîmes main dans la main, mais sans courir cette fois, vers la clairière ou nous avions repérés un troupeau de biches.

Nessie me damandait encore.

"Dis papa... penses-tu qu'elle nous a oublié ? Que l'on lui manque comme elle nous manque ? Qu'ils la font souffrir ?"

Nous arrivâmes près du troupeau de biches, quand j'entrepris de lui répondre.

- Toutes tes questions sont fondées ma chérie, mais cela ne sert de te tourmenté pour rien. Ta mète n'a pas oubliée son petit ange, ne t'en fais pas. Nous lui manquons aussi, j'en suis sur. Et, je pense pas qu'ils lui fassent du mal...

Du moins, je l'éspèrais.

- ... en fin, j'espère. Alors, que faisons nous ? Les biches ne vont certainement pas nous attendre toute la journée.

Je rigolais et lui tendis la main.

- Toutes tes questions sont fondées ma chérie, mais cela ne sert de te tourmenter pour rien. Ta mère n'a pas oublié son petit ange, ne t'en fais pas. Nous lui manquons aussi, j'en suis sur. Et, je ne pense pas qu'ils lui fassent du mal... dit mon père.

J'espère !

- ... enfin, j'espère. Alors, que faisons nous ? Les biches ne vont certainement pas nous attendre toute la journée. finit-il.

Il se mit à rire et je me joignit à lui. Il me tendit la main.

- Attends, je voudrais tester quelque chose. dis-je.

Il acquiésça mais il avait l'air inquiet. Je me cachai derrière un arbre, sortis discrètement, et sautai sur une biche qui était en train de boire l'eau de la clairière. Malheureusement, je loupai mon saut et la fit fuir. Cela eu le don de faire fuir toutes les biches. Et zut !

- Aïe ! dis-je.

J'étais retombée sur le poignet qui à présent me brûlait. Edward courut vers moi l'air très inquiet. Contrairement à lui, je pouvais me blesser facilement, et je tenais la maladresse de ma mère.

Invité

Je rigolais et lui tendais la main.

Ma fille rigolais alors de bon coeur avec moi.

Elle me demandait.

"Attends, je voudrais tester quelque chose."

J'aqcuiescais mais je me demandais bien ce qu'elle avait l'intention de faire.

Je vis alors ma fille se cacher derrière un arbre, sortir discrètement et sauter sur une biche qui était en train de boire de l'eau dans la clairière.

Elle loupait son saut et la fit fuir.

Toutes les biches, au bruit, de leur compagnes, s'enfuirent aussi.

Alors Nessie , qui avait les larmes aux yeux, dis qu'elle avait mal.

Lorsque ma petite fille était retombée, j'évais entendue un bruit assez inquiétant.

Appeurer, je me dirigeais en courant vers ma fille.

Alors, voyant le poignet de ma fille, dont l'os était bizarement tordu, je compris tout de suite.

- Bon, tu ne bouges pas.

Je sortais mon portable en hâte pour appeler Carlisle et lui expliquer la situation, quand je raccrochais, je me tournais vers ma fille.

- Bon il faut que je t'emmène à l'hôpital. Nous allons voir Carlisle. Bon en attendant je vais te faire un bandage.

J'enlevais ma chemise que j'avais prise pour l'occasion car elle était un peu ensanglantée, je la déchirais pour faire un bandage à ma fille et lui immobiliser le poignet.

Je la prenais alors sur mon dos, et me dirigeais à travers la forêt, en direction de l'hôpital.

Il observa mon poignet, horrifié. C'est à dire que l'os était très bizarrement tordu.

- Bon, tu ne bouges pas.

Mon poignet me faisait beaucoup trop mal pour que je puisses bouger. Il attrapa son portable et appela Carlisle. Quand il eu raccroché, il se tourna vers moi.

- Bon il faut que je t'emmène à l'hôpital. Nous allons voir Carlisle. Bon en attendant je vais te faire un bandage.

Il enleva sa chemise pour me faire un bandage et m'immobilisa le poignet. Oh non pas l'hôpital ! Il m'attrapa sur son dos, se mit à courrir à travers la forêt, en direction de l'hôpital. Je me demandais comment il faisait pour passer sans se faire remarquer avec moi sur son dos, dans les rues.

- Tss, aïe ! dis-je quand il enjamba une racine et que mon poignet frappa contre son dos.

Il fit une grimace et nous arrivâmes à l'entrée de l'hôpital. Il me déposa lentement sur le sol. Mon poignet me brûlait horriblement. Je titubai légèrement.

Invité

Je passais le plus vite possible dans les rues sans que personne ne me voit, puis je rejoignais la forêt à nouveau pour aller plus vite.

Comme j'enjambais la racine d'un arbre, le poingnet de ma petite Nessie vint cogner contre mon dos.

"Tss, aïe !"

Je grimacais quand j'entendais ma fille prononcer ces mots.

Nous arrivâmes à l'entrée de l'hôpital.

Je déposais ma fille lentement sur le sol.

Comme elle titubait légèrement je décidais de la reprendre dans mes bras, je posais un bars en dessous de son dos et l'autre sous ses jambes, exactement comme j'avais pris sa mère à l'entrée de la maison de l'île d'Esmé.

Je l'emmenais jusqu'à l'acceui et dis à la dame qui y était.

- Bonjour. Ma fille c'est cassé le poignet. Je voudrais voir le docteur Cullen s'il vous plaît.

Elle me répondit que mon père était en consultation et bla bla bla.

Heureuseument mon père arriva à l'acceuil et nous pris en charge.

Je me dirigeais alors dans une salle de consultation et déposais délicatement ma fille sur un lit médical.

Puis j'allais m'asseoir, attendant que Carlisle l'examine.

Il décida de me reprendre dans ses bras, d'une façon qui me permettait de ne pas me cogner contre quelque chose et de me blesser et de façon à ce qu'il fasse "meilleure impression". Il entra et m'emmena jusqu'à l'accueil où il trouva une dame à l'air sympathique.

- Bonjour. Ma fille s'est cassé le poignet. Je voudrais voir le docteur Cullen s'il vous plaît.

Bien sûr, elle répondit qu'il était déjà en consultation et le blabla. Mais c'est qu'elle ignorait qui on était la p'tite dame. A cette pensée, Edward me sourit. Heureusement, je vis Carlisle -je vais pas l'appeler papy, ça ne lui va pas- qui arriva et expliqua qui nous étions.

- Je les prend, c'est mon fils. dit-il.

A cette parole, l'hôtesse ouvra les yeux en grand et papa pouffa. Mon père m'amena dans une salle de consultation, me déposa délicatement sur un lit médical et Carlisle s'approcha tandis que mon père alla s'asseoir, laissant son père m'examiner.
Carlisle toucha à certains endroits, qui me firent tous un mal horrible.

- Comment tu t'es fait ça ? demanda Carlisle.

- Avec papa, on était partis chasser, j'ai voulu sauter sur une biche, et j'ai loupé mon saut et suis retombée sur le poignet.

Il eut un petit sourire moqueur.

- Bon, ce n'est rien de bien grave. Une petite fracture. décréta-t-il.

Edward fit une grimace au dernier mot.

Invité

Carlisle examina Renesmée en lui palpant le poignet aux endroits cibles pour déterminer ce qu'elle avait.

Ma fille avait mal partout où mon père touchait, j'avais peur que ce soit assez grave.

Carlisle demanda alors à Nessie.

"Comment tu t'es fait ça ?"

Ma fille lui répondit.

"Avec papa, on était partis chasser, j'ai voulu sauter sur une biche, et j'ai loupé mon saut et suis retombée sur le poignet."

Mon père eut un petit rire moqueur, se tournait vers moi, puis revint à Renesmée.

"Bon, ce n'est rien de bien grave. Une petite fracture."

Je grimaçais et en même temps je soupirais, "heureux" que ce ne soit rien de plus grave.

Pour rigoler, je disais à ma fille.

- Je crois que je vais demander à Alice de te réapprendre à chasser correctement, et sans faire fuir la nourriture.

Je rigolais de bon coeur et Carlisle en fit autant.

Mon père soupira.

- Je crois que je vais demander à Alice de te réapprendre à chasser correctement, et sans faire fuir la nourriture.
Ils se mirent à rire et je leur tirer la langue. Non mais ! Carlisle commença à me faire un bandage, assez épais, de façon à immobiliser mon poignet douloureux.

- Ca guérira vite avec toi. Un bandage suffira, je pense. expliqua Carlisle.

J'acquiésçai.

- Et quelques petits médicaments aussi, pour faire partir la douleur. dit-il avec un sourire moqueur.

Je déteste le vieux Papy ! Edward rigola. La douleur s'était quelque peu dissipée, et étant immobilisé, je n'avais mal qu'à un seul endroit, ce qui me soulageait.

- On peut y aller ? demandai-je.

- Hep hep hep ! dit Carlisle.

Qu'y avait-il ?

Invité

Comme mon père et moi rigolions de la blague de j'avais faite à ma fille, elle nous tirait la langue.

Carlisle, reprenant ses esprits, fit un bandage à ma fille pour immobiliser son poignet douloureux.

Puis il lui expliquait.

"Ca guérira vite avec toi. Un bandage suffira, je pense."

Ma fille acquiesçait et mon père reprit.

"Et quelques petits médicaments aussi, pour faire partir la douleur."

Il dit cela avec un sourire ci moqueur.

Le sourire de Carlisle et les pensées de ma fille firent que je rigolais de la situation.

Après tout, il valait mieux en rire qu'en pleurer.

Puis ma fille demandait.

"On peut y aller ?"

Alors carlisle lui répondit.

"Hep hep hep !"

Ma fille se demandait ce qu'il se passait et j'entrepris de répondre à la place de mon père.

- Tes médicaments.

Je souriais et attendais de voir si ce que je pensais avoir compris était juste.

- Tes médicaments. dit mon père.

Oh ! Moi qui croyait y échapper, bref. Carlisle me donna les médicaments, je commençai à partir quand il me rappela à l'ordre.

- Ne chasses pas pour l'instant s'il te plaît ! On demandera à ton père, Emmett ou Alice de te ramener du gibier, je pense qu'il s'amuseront bien.

Soudain, j'eu une petite idée pour donner un peu de pep's à tout ça.

- Chacun ramenera quelque chose pour moi -oui ça fait beaucoup- et je jugerai le mieux. Ca sera marrant ! Voir Emmett râlait haha !

Edward et Carlisle se mirent à rire de bon coeur et je me demandai si on ne pouvaient pas les entendre de dehors. Je pense que si.

- Bon, maintenant, vous pouvez y aller. Prends garde à toi Nessie, je t'ai à l'oeil ! dit Carlisle avec son fameux sourire moqueur.

Nous sortâmes de la salle de consultation, Edward derrière moi.

- Tu l'as bien compris, hein ? dit-il avec de la malice dans les yeux.

- Oui papa.

Soudain, il m'attrapa, me mit sur son dos et nous sortîmes à toute vitesse de l'hôpital.

- Mais tu es fou de faire ça, toi ! dis-je en riant.

Invité

Ma fille se demandait ce qu'il se passait et j'entrepris de répondre à la place de mon père.

- Tes médicaments.

Je souriais et attendais de voir si ce que je pensais avoir compris était juste.

Elle pensait que Carlisle allait oublier de lui donner ses médicaments mais il n'en fit rien.

Nous nous appretions à partir quand Carlisle nous arrêta pour nous rapeller.

"Ne chasses pas pour l'instant s'il te plaît ! On demandera à ton père, Emmett ou Alice de te ramener du gibier, je pense qu'il s'amuseront bien."

Ma fille avait une idée assez drôle d'après ce que j'avais cru comprendre, et elle en fit part à mon père.

"Chacun ramenera quelque chose pour moi -oui ça fait beaucoup- et je jugerai le mieux. Ca sera marrant ! Voir Emmett râlait haha !"

Carlisle et moi, nous nous mîmes à rire de bon coeur, et ma fille se demandais alors si les autres personnes ne pouvaient pas nous entendres.

"Bon, maintenant, vous pouvez y aller. Prends garde à toi Nessie, je t'ai à l'oeil !"

Il eut un petit sourire moqueur.

Nous sortâmes de la salle de consultation, ma fille devant moi.

Alors je dis à ma fille.

- Tu l'as bien compris, hein ?

Elle acquiescait.

"Oui papa."

Alors, je l'attrapais et la mit sur mon dos.

Nous sortîmes de l'hôpital à toute vitesse.

Ma fille se mit à rire et me dit.

"Mais tu es fou de faire ça, toi !"

Je rigolais avec elle et lui dis.

- Si tu t'inquiètes pour les humains, ce n'est pas a peine. Ils sont tellement chétifs qu'ils ne nous ont même pas vus, je te parie.

Je rigolais de plus belle tout en continuant de courir vers la forêt.

Il se mit à rire avec moi.

- Si tu t'inquiètes pour les humains, ce n'est pas la peine. Ils sont tellement chétifs qu'ils ne nous ont même pas vus, je te parie.

- Je te l'accorde.

Il se remit alors à courrir à toute vitesse à travers la forêt. Je m'accrochais le plus fort possible à lui malgré mon poignet. J'adorais avoir le vent qui me fouettait le visage, et j'en oubliais la douleur de mon poignet. Les parfums tout, j'adorais ! Et la vitesse, la vitesse... Mon poignet me fit un peu mal et j'échappais un petit cri se qui fit, à son habitude, grimacer mon père.

- Ne t'inquiètes pas Papa, j'ai moins mal.

Il sourit et marmonna des paroles que je ne pus entendre malgré que je sois à demi vampire. Nous repassâmes devant la clairière et bizarrement, les biches étaient revenues.

- Je n'ai pas dû les effrayer tant que ça. dis-je en rigolant.

Mon père me déposa sur le sol.

- Je vais te montrer ce qu'est un vrai saut !

Il utilisa exactement la même méthode que j'avais utilisé il y a 30 minutes environ, et bien sûr, lui, ne loupa pas son saut.

[HRP : Je me suis permis de te faire un peu parler ^^]

Invité

Nous sortîmes de l'hôpital à toute vitesse.

Ma fille se mit à rire et me dit.

"Mais tu es fou de faire ça, toi !"

Je rigolais avec elle et lui dis.

- Si tu t'inquiètes pour les humains, ce n'est pas a peine. Ils sont tellement chétifs qu'ils ne nous ont même pas vus, je te parie.

Je rigolais de plus belle tout en continuant de courir vers la forêt.

Ma fille me répondait alors.

"Je te l'accorde."

Ma fille se cramponna à moi pour essayer de caler son poignet mais malheureusement elle vait toujours mal.

Elle laissa échapper un petit cri, et je grimaçais.

"Ne t'inquiètes pas Papa, j'ai moins mal."

Nous repassâmes devant la clairière, les biches étaient revenues.

"Je n'ai pas dû les effrayer tant que ça."

J'eus un petit rire, et je la déposais sur le sol.

Puis je lui dis avec un regard malicieux.

- Je vais te montrer ce qu'est un vrai saut !

J'utilisais alors la même méthode que ma fille, à la différence que je réussissais à me jeter sur elle.

Je plantais mon cros dans son coup et après s'être débattu un moment, elle émit un petit gémissement et se laissa mourir.

Je me tournais vers ma fille et lui dis.

- Voilà comment il faut chasser.

Je rigolais et plantais mes dents dans sa peau pour découvrir la chair.

Quand je vis de la viande, je demandais à ma fille.

- Tu veux un peu de biche ma chérie ?

Je lui tendais la main pour qu'elle vienne me rejoidre.

Mon père planta alors ses crocs dans le cou de la biche, et après s'être débattue comme elle le pouvait, elle se laissa mourir. J'aimais beaucoup les animaux, malgré mon régime alimentaire, ce qui me fit un peu de peine, mais bon. Mon père se tourna vers moi, l'air arrogant.

- Voilà comment il faut chasser.

Je failli lui répondre Oui, maître !, mais rien que le pensait lui fit échapper un rire. Il replanta ses dents dans sa peau pour découvrir la chair. Quand il vit la viande, il se tourna vers moi pour me faire une proposition.

- Tu veux un peu de biche ma chérie ?

Il me tendit la main pour que je le rejoigne. Je pris soin de dégageait ma main blessée et me releva grâce à la main de mon père en essayant de ne pas tomber ce qui marcha.

- Avec grand plaisir.

Je m'approchai alors, et plantai mes crocs dans la viande. Mon père fit de même et quand la biche fut complètement vidée de son sang, je dis :

- Faudrait peut-être que nous rentrions, ils vont s'inquiéter.

Edward acquiésça et il me reprit sur son dos puis repartit à toute vitesse vers la villa. Nous y arrivâmes en peu de temps et Alice se précipita vers nous. Elle me serra fort contre elle, et manqua d'écraser ma main contre ma poitrine.

- Tu vas bien ?! J'ai eu peur ! dit-elle, affolée.

- C'est juste une fracture Alice, ne t'en fais pas.

Invité

Je lui dis avec un regard malicieux.

- Je vais te montrer ce qu'est un vrai saut !

J'utilisais alors la même méthode que ma fille, à la différence que je réussissais à me jeter sur elle.

Je plantais mes crocs dans son coup et après s'être débattu un moment, elle émit un petit gémissement et se laissa mourir.

Je me tournais vers ma fille et lui dis.

- Voilà comment il faut chasser.

Je rigolais, puis je demandais à ma fille.

- Tu veux un peu de biche ma chérie ?

Je lui tendais la main pour qu'elle vienne me rejoidre.

Elle prit soin de faire attention à ne pas se faire mal, et pris ma main pour se relever.

"Avec grand plaisir."

Elle s'approchais alors et plaitait, à son tour, ses cros dans la gorge de la biche.

Quand elle fut complètement vidée de son sang, ma fille se tournait vers moi et me dit.

"Faudrait peut-être que nous rentrions, ils vont s'inquiéter."

J'acquiescais et la repris sur mon dos.

Nous repartîmes en direction de la villa.

Nous y arrivâmes en peu de temps.

Alice se précipita vers nous.

Elle serra Renesmée fort contre elle, et manqua de lui écraser la main contre sa propre poitrine.

"Tu vas bien ?! J'ai eu peur !"

Alice avait l'air affolée.

"C'est juste une fracture Alice, ne t'en fais pas."

Renesmée se voulait rassurante et moi aussi.

- Je l'ai emmenée voir Carlisle à l'hôpital. Il nous a dit qu'elle guérirais très vite. Ne t'en fais pas.

Je lui souris et repris.

- Je n'ai pas le droit à un câlin moi ?

Je lui fis une petit moue et rigolais.

Une fois que mon étreinte avec Alice fut terminé, Edward expliqua la situation.

- Je l'ai emmenée voir Carlisle à l'hôpital. Il nous a dit qu'elle guérirais très vite. Ne t'en fais pas.

Edward lui sourit et comme elle se tourna vers moi ( Cool

) je fis de même.

- Je n'ai pas le droit à un câlin moi ? ajouta Edward.

Il lui fit une petite moue, il éclata de rire et je fis pareil.

- T'as une raison que je t'en fasse un ?

Héhé, c'est qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ma Tati Power Wink

.

- Euuh...

- Bon aller viens là.

Elle s'approcha et l'enlaça. Edward m'attrapa par l'épaule.

- Je vous aime.

- Moi aussi je t'aime Papa.

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